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26 avril 2009

Agression par des jeunes qui n'ont plus peur de rien

agression

Trois garçons de Tremblay-en-France (Seine-Saint-Denis) ont essayé de s'attaquer à des convoyeurs de fonds de la Brink's avec une bombe lacrymogène. A 8 h 30 vendredi, Aziz, 14 ans, Keïta 15 ans et Saïd, 16 ans, cagoulés, s'approchent du supermarché ED rue de la Paix, devant lequel stationne un fourgon. Deux convoyeurs en sortent, l'un avec l'argent dans une «valise intelligente» (qui tâche les billets d'encre), l'autre en protection. Selon leurs témoignages, les cagoulés les«arrosent de

gaz lacrymogène». Un convoyeur tire sur «les agresseurs» et en blesse deux. Les trois s'enfuient bredouilles en laissant des traces de sang jusqu'à leur refuge. Le Raid et la brigade de répression du banditisme de Paris les localisent à 10 heures et négocient. Les trois ados ont écouté un ami rappeur et se sont rendus après l'échec de ce vol, même pas à main armée.

Source: http://fr.news.yahoo.com/76/20090425/tfr-trois-gamins-braquent-un-fourgon-dbac7e9.html

Depuis quelques temps on ne voit plus que des articles de ce genre comme ce matin en grand titre sur le Parisien. Des gamins qui n'ont peur de rien et qui braquent; qui volent; qui agressent. Mon grand-frère s'était déjà fait agressé il y a 2 ans à deux pas de la maison, on ne faisait plus attention depuis. Il était m'éconnaissable tellement il était amoché. Mais lundi mon petit frère en rentrant de travail se fait également agressé. 3 jeunes, cagouler, mon frère les voient arrivé. Il donne calmement son portable, mais après lui demande son sac, et là il a refusé puisqu'il y avait son ordinateur portable et ses consoles portable. Et là ils sortent les bombe lacrymogène et autres couteaux. Ils essayaient de le maitrisé en le faisant tomber mais vainement. Aveuglé et menacé de couteau il n'a pu que impuissant se faire prendre ses affaires. Il se dirige difficilement au commissariat du coin où les policiers le regarde d'un air de lassitude voyant ça quasiment tous les jours. Prennent sa déposition, lui demande de reconnaitre ces agresseurs parmi quelques voyous du coin alors qu'il avait encore les yeux qui lui piquait. Certes dur pour eux de faire leurs jobs, mais même s'ils ne peuvent pas faire grand chose pour les retrouver, au moins surveiller régulièrement les lieux où sont signalé les agressions surtout que apparement l'endroit où sa s'est produit était au même endroit où s'était fait agressé mon grand-frère mais on n'y passe toujours en rentrant de la gare. Que au moins on puisse rentrer chez soi dorénavant serainement. Ce ne sera plus le cas de mon petit-frère qui ne peut plus voir des gens de la même origine que ces agresseurs sans un air de doute et de peur.

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Commentaires
M
C'est horrible ce que tu racontes là... Je ne vis pas à Paris, mais ce genre de chose se développe en province aussi! :(
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